Premièrement, je crois que les élèves « idéals » n’existent pas. Il faut accueillir les élèves avec leur bagage et leur histoire et les faire progresser plus loin. Le vécu des élèves est quelque chose que l’enseignant ne peut pas changer et les situations auxquelles certains enfants ont été confrontés font parfois en sorte qu’ils ne seront jamais « idéals ». Faudrait-il les catégoriser dans une classe « non-idéale » pour ces raisons? Je ne crois pas.
Je pense que c’est le rôle de l’enseignant de faire en sorte que tous les enfants aient des comportements qui sont pour moi idéals, c'est-à-dire être intéressé, curieux et engagé dans les apprentissages. En effet, la motivation est un phénomène propre à l’individu, mais de nombreux facteurs l’influencent dont les facteurs liés à l’école et à l’enseignant (Viau, 1999). Il est donc de la responsabilité de l’enseignant de motiver l’élève au travers des activités qu’il lui propose pour lui faire vivre des réussite et de faire en sorte que les enfants soient bien dans la classe.
mardi 15 septembre 2009
Quel est le type d'élève «idéal»
Ne définissons pas ce qu’est un élève idéal, parce que ce qui est beau, c’est la différence entre tous les enfants et ce qu’ils peuvent apporter de diversité dans la classe.
Publié par Marie-Andrée Deshaies Morin à 19:25
Libellés : Compétence professionnelle 6: ma gestion de classe, Compétence professionnelle 7: ma vision des enfants différents
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